cinq livres
vendredi 29 juin 2018
vendredi 22 juin 2018
Ça va aller.
« ÇA
VA ALLER ». De si nombreuses fois je me suis dit ces mots. De si
nombreuses fois je me les suis répétés comme un mantra bienfaisant, comme un
baume apaisant, comme une formule magique capable de tout transformer.
« Ça
va aller ». « Ça va aller ». « Ça va aller ».
« Ça
va aller ». Des mots qui changent tout. Des mots qui m’incitent, alors que
la souffrance est vive et le découragement insistant, à panser mes plaies et à
tenir bon. Quand tout va mal, voilà ce que ces mots font pour moi. C’est l’instinct
de survie qui se manifeste. C’est le désir, enfoui au plus profond de moi qui
veut aller de l’avant, qui veut dépasser ce qui est.
« Ça
va aller ». Trois petits mots de rien du tout. Trois petits mots qui me
rappellent cependant que je suis plus grande que ce qui survient dans ma vie et
très certainement plus forte que je ne le crois. Quand je suis sur le point de
tout lâcher, voilà ce que ces trois petits mots font pour moi. C’est la vérité
de qui je suis qui s’exprime. C’est une certitude venue de je ne sais où qui
ose prendre la parole et clamer haut et fort ce en quoi elle croit.
« Ça
va aller ». Une phrase qui se répète sans cesse en moi, que ma bouche
répète parfois dans un murmure inépuisable. Une phrase qui me permet de me
relever, de raviver l’espoir, de m’accrocher à un avenir meilleur. Quand je
vois tout en noir et que j’ai peine à respirer, voilà ce que cette phrase fait
pour moi. C’est une force en moi dont j’ignorais l’existence qui pourtant s’élève,
solide et inépuisable et qui surtout, refuse d’abandonner. C’est un courage et
une volonté ferme qui me dit que ceci finira par passer.
« Ça
va aller ». Au début ça sonne faux à mon oreille, je n’y crois pas trop et
ça ne change pas grand-chose dans un premier temps. Mais les mots tiennent bon.
Sans que je n’y puisse rien ils s’accrochent et m’envahissent toute entière,
deviennent une litanie qui s’impose à moi et à laquelle je ne peux que
succomber.
« Ça
va aller ». « Ça va aller ». « Ça va aller ».
Les
mots prennent en assurance. Ce n’est plus un murmure mais bien un hymne au
combat et à la résilience. Et puis ça y est : Je me mets à y croire. Pour
de vrai. À espérer. Pour de vrai. À vouloir continuer. Pour de vrai.
Mon
esprit se désembrume, mes intentions se clarifient, des solutions s’imposent,
des chemins se dessinent… La vie reprend un sens. « Ça va aller ». C’est
certainement vrai parce que lentement tout se met à changer. En moi. Autour de
moi. Je me redresse et reprend mon chemin. Je retrouve lentement ma joie et ma
légèreté. L’épreuve m’a changée… sûrement même améliorée. Je me souviens encore…
mais je sais que je peux maintenant continuer. Avancer. Reprendre le cours de
ma vie.
« Ça
va aller ». Oui ça va aller parce qu’alors, reconnaissante pour ces mots
qui m’ont tenu la main durant ces jours difficiles, je constate que le pire…
est derrière moi.
vendredi 15 juin 2018
dimanche 10 juin 2018
Tout est possible.
TOUT
EST POSSIBLE. J’adore cette phrase. Bon O.k. J’avoue que parfois j’trouve ça
pas trop réaliste. Des fois, j’balais cette phrase du revers de la main et
j’essaie de me convaincre que ces mots ne sont que balivernes. J’me dis, quand
je suis de mauvais poil, qu’il y a quand même des limites à ce que l’Univers
peut faire pour moi et par moi.
Mais
quand même… parce que quelque chose en moi veut réellement croire en tout cela,
je choisis d’interpréter cette phrase à ma façon…
Dans
‘tout est possible’ je comprends que rien n’est totalement définitif, qu’à tout
moment je peux changer tout ce que je désire dans ma vie, que je suis le maître
de ma destinée, qu’il en sera toujours fait selon ce que je désire le plus et
que là où vont mes énergies, là ira ma vie.
Dans
‘tout est possible’, je saisis que dans toute situation il y a du bon, quelque
chose de précieux et que ce qui peut paraître affligeant au premier regard peut
en fait, si j’y regarde bien, contenir un cadeau et que le pire est parfois un
tremplin vers meilleur.
En
m’associant à ‘tout est possible’, je me donne la chance de dépasser mes
limites du moment, de relever de nouveaux défis, de devenir une version
améliorée de qui je suis, de bonifier ma vie, de vivre plus heureux, plus
épanoui.
Avec
‘tout est possible’ comme slogan, je me convaincs de croire en ce qui m’habite,
en ce que je sais être MA vérité.
Avec
‘tout est possible’ comme allié, je me dis qu’essayer, me tromper, me relever
et essayer encore est la meilleure tactique pour réaliser mes rêves.
Me
répéter que ‘tout est possible’ me donne un deuxième souffle, m’incite à tenir
bon, à me montrer optimiste, remplie d’espoir et à imaginer que le meilleur
pour mon avenir.
‘Tout
est possible’ est un mantra qui me motive, qui me soutient l’entrain, qui me
pousse vers l’avant et qui me donne des ailes.
Croire
à ‘tout est possible’, c’est me permettre de quitter peu à peu ma prison, c’est
prendre lentement mais sûrement mon envol vers ce que je désire vraiment, c’est
accepter que la liberté d’être tout ce que je veux est mon état d’être naturel.
Oui,
j’ai bien envie de croire que ‘tout est possible’ ça veut dire que devant soi
il y a l’infini des possibilités mais surtout que mon avenir n’est déterminé
que par les décisions que je prends, que par ma volonté, ma ténacité, ma
patience… et toutes ces autres attitudes et qualités que j’accepte de déployer.
‘Tout
est possible’ selon la définition que j’en fais, c’est se rappeler que les
choses s’accomplissent quand j’y mets du mien, quand je travaille vraiment fort,
quand je crois profondément à ce que je suis, à ce que je rêve et à ce que je
fais.
‘Tout
est possible’ selon la version que j’adopte, c’est accepter de me mettre au
boulot pour faire bouger les choses, pour trouver une place qui me convient
parfaitement en ce monde et c’est surtout m’engager totalement, d’âme et de cœur,
pour ce que je crois être juste et bon pour moi.
Je
suis persuadée que c’est ainsi que le meilleur se pointera le bout du nez et
que les miracles s’accompliront dans ma vie
‘Tout
est possible’. Malgré tout ce que cela implique pour moi… J’adore cette phrase.
vendredi 8 juin 2018
vendredi 1 juin 2018
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