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dimanche 25 février 2018
samedi 24 février 2018
changer d'adresse
CHANGER D’ADRESSE. Délaisser ce qui est. Tourner la page. Rebâtir ailleurs et autrement.
Il faut parfois en arriver là pour redonner un sens à sa vie, pour retrouver sa voie et le sourire. Parce que quand la joie n’est plus au rendez-vous, c’est qu’il y a quelque chose qui cloche, anguille sous roche, de l’eau dans le gaz.
Malgré ce que l’on pense sincèrement, malgré ce que l’on ressent véritablement, on hésite cependant à tout larguer. On préfère faire un kilomètre de plus pour être tout à fait certain. Pis ce kilomètre se transforme bien souvent en une longue série de kilomètres qui devient interminable : Tout simplement parce qu’on ne sait plus comment y mettre fin. D’un coup qu’au prochain tournant tout reprendrait sa place? ose-t-on se faire croire. Pis si… pis si… On vit d’espoir dans l’inaction. Pis finalement rien ne change.
Qu’est-ce qu’on peut bien se dire comme bêtise parfois. On s’enfouie la tête dans le sable en croyant que tout pourrait s’arranger tout seul. Alors on continue de vivre de notre plein gré avec ce qui nous tourmente, nous blesse et nous assassine au lieu de se débarrasser de ce qui ne fait plus notre affaire, au lieu de se mettre à créer une vie nouvelle qui nous rendrait certainement plus heureux.
Rester dans ce qui ne nous convient plus ne peut que nous dénaturer, nous affaiblir, nous faire mourir à petit feu. Voilà ce que je pense.
Changer d’adresse. Tirer un trait sur son passé. Profiter du présent pour s’inventer un futur meilleur, à notre resemblance et assurément plus satisfaisant. Il faut parfois en arriver là pour retrouver la joie de vivre, pour se sentir sur son X, très exactement où nous devons précisément être.
Quand notre bonheur est en péril, il ne devrait y avoir aucune hésitation. Essayer autre chose a beaucoup plus de valeur que d’agoniser dans ce que l’on connaît, que de s’éteindre dans une zone qui nous écrase et nous détruit.
Changer d’adresse s’avère parfois nécessaire. Je ne sais pas d’où vient alors le courage de passer à l’action. Mais il vient. Peut-être parce qu’on l’appelle? Peut-être parce qu’il a toujours été là? Peut-être parce qu’on bien plus fort et plus puissant qu’on ne le croit?
Changer d’adresse. Je l’ai déjà fait. Et je ne doute pas que j’aurai peut-être à le refaire. Si j’ai la certitude que c’est ce qu’il y a de mieux pour moi… alors je le fais.
vendredi 23 février 2018
mardi 20 février 2018
dimanche 18 février 2018
samedi 17 février 2018
La vie est difficile.
La vie est difficile. Je l’ai toujours dit.
‘Qui a dit que cela devrait être facile?’ ai-je écrit dans plusieurs de mes livres devant la naïveté de mes personnages principaux.
Parce que oui, on l’espère tous un jour ou l’autre l’accalmie infinie. On croise alors ben fort les doigts en se disant qu’on serait dû pour juste le meilleur et juste le plus facile.
Ben non je ne me lève pas le matin avec l’extraordinaire envie d’aller voir ce que nouveau jour me réserve. J’envie ceux qui ont hérité de ce gène du ‘c’est ok quoi qu’il advienne’ ou de ‘la vie est tellement belle!’ ou qui ont ‘Tout est ok’ comme slogan. Ben non je ne saute pas de joie devant les problèmes et je ne me dis pas ‘béni sont les défis, encore moins ‘hourra j’ne vois pas d’issues’ et certainement pas ‘ youpi je suis dans la m…’.
Y’a certains jours où j’trouve ça difficile.
Je me dis alors… qu’il faut être déterminé et courageux pour vivre : Accepter d’aller vers l’inconnu, se dire que nouveau peut être synonyme de mieux, affronter ce qui fait peur, tenir tête à ce qui effraie, inquiète et stress.
Je me dis alors… qu’il faut être solide et fort pour vivre : Accepter de devoir se relever, se redresser et recommencer, se dire qu’on est toujours capable de plus, redoubler d’efforts, croire en soi.
Je me dis alors… qu’il faut être serein et confiant pour vivre : Aller de l’avant sans vraiment savoir, faire un pas de plus en compagnie de l’espoir, se dire que tout ira mieux demain, continuer de croire en ses rêves.
Je me dis alors… qu’il faut être optimiste et motivé pour vivre : Trouver le beau et le bon en tout, se dire que toute situation a sa raison d’être, se répéter qu’en persévérant on y arrivera, se convaincre qu’en traversant le difficile on devient meilleur.
Voilà tout ce que je me dis pour m’encourager. Pis j’le sais ben que ces qualités-là sont toutes en moi. Pis que j’y ai recours… En tout cas la plupart du temps.
Je sais très bien que des murs j’en ai abattus, que des défis j’en ai relevés, que des limites j’en ai franchies, que des zones de confort j’en ai quittées, que des miracles j’en ai accomplis, que des victoires j’en ai récoltées, que des cadeaux j’en ai reçus, que des sommets j’en ai visités, que des succès j’en ai célébrés… et tout cela avec beaucoup de fierté. Parce que j'ai dû travailler fort pour tout cela.
La vie est difficile. De temps en temps. Heureusement pas trop souvent. Mais franchement, je dois bien admettre que malgré le ‘gène-manquant’ je m’en tire plutôt bien.
‘Qui a dit que cela devrait être facile?’ ai-je écrit dans plusieurs de mes livres devant la naïveté de mes personnages principaux.
Parce que oui, on l’espère tous un jour ou l’autre l’accalmie infinie. On croise alors ben fort les doigts en se disant qu’on serait dû pour juste le meilleur et juste le plus facile.
Ben non je ne me lève pas le matin avec l’extraordinaire envie d’aller voir ce que nouveau jour me réserve. J’envie ceux qui ont hérité de ce gène du ‘c’est ok quoi qu’il advienne’ ou de ‘la vie est tellement belle!’ ou qui ont ‘Tout est ok’ comme slogan. Ben non je ne saute pas de joie devant les problèmes et je ne me dis pas ‘béni sont les défis, encore moins ‘hourra j’ne vois pas d’issues’ et certainement pas ‘ youpi je suis dans la m…’.
Y’a certains jours où j’trouve ça difficile.
Je me dis alors… qu’il faut être déterminé et courageux pour vivre : Accepter d’aller vers l’inconnu, se dire que nouveau peut être synonyme de mieux, affronter ce qui fait peur, tenir tête à ce qui effraie, inquiète et stress.
Je me dis alors… qu’il faut être solide et fort pour vivre : Accepter de devoir se relever, se redresser et recommencer, se dire qu’on est toujours capable de plus, redoubler d’efforts, croire en soi.
Je me dis alors… qu’il faut être serein et confiant pour vivre : Aller de l’avant sans vraiment savoir, faire un pas de plus en compagnie de l’espoir, se dire que tout ira mieux demain, continuer de croire en ses rêves.
Je me dis alors… qu’il faut être optimiste et motivé pour vivre : Trouver le beau et le bon en tout, se dire que toute situation a sa raison d’être, se répéter qu’en persévérant on y arrivera, se convaincre qu’en traversant le difficile on devient meilleur.
Voilà tout ce que je me dis pour m’encourager. Pis j’le sais ben que ces qualités-là sont toutes en moi. Pis que j’y ai recours… En tout cas la plupart du temps.
Je sais très bien que des murs j’en ai abattus, que des défis j’en ai relevés, que des limites j’en ai franchies, que des zones de confort j’en ai quittées, que des miracles j’en ai accomplis, que des victoires j’en ai récoltées, que des cadeaux j’en ai reçus, que des sommets j’en ai visités, que des succès j’en ai célébrés… et tout cela avec beaucoup de fierté. Parce que j'ai dû travailler fort pour tout cela.
La vie est difficile. De temps en temps. Heureusement pas trop souvent. Mais franchement, je dois bien admettre que malgré le ‘gène-manquant’ je m’en tire plutôt bien.
vendredi 16 février 2018
lundi 12 février 2018
citation de La Quête d'Aurélie
Parfois ce qui ne nous convient plus est quand même rassurant...
il faut alors avoir confiance en ce qui est à venir...
dimanche 11 février 2018
samedi 10 février 2018
RIRE
RIRE. Rire tout bas. Rire fort. Rire en solo. Rire en bonne compagnie. Rire pour se dilater la rate. Rire à en avoir mal aux côtes. Rire à en avoir la vessie qui déborde. Rire à ne plus pouvoir retenir les larmes. Rire en se souvenant. Rire en espérant. Rire en partageant. Rire sous cape. Rire à gorge déployée. Rire et semer la contagion.
Rire un bon coup et se sentir ensuite tellement bien. En paix. Serein. Détendu. Réénergisé. Invincible. Prêt à continuer. Certainement plus heureux. Beaucoup plus heureux.
Alors voilà notre mission : Tentons de nous bidonner librement le plus souvent possible. Des centaines de fois par jour. Oui des centaines de fois.
Parce que j’en suis certaine : On ne rit pas assez. Comme pour bien d’autres choses qui font plaisir ou qui font du bien, on remet à plus tard. À après le boulot. À après les obligations. À après ‘tout ce qu’il faut’ et ‘tout ce que l’on doit’.
À rire si peu… on rit encore moins. Le rire est une habitude qui a besoin d’être utilisée le plus souvent possible pour rester souple, agile et efficace. Et on peut tous développer cette habitude-là! Faut juste la laisser émerger, lui faire confiance et pratiquer! Assurément qu’à rire plus souvent… on en veut encore plus. Toujours plus.
L’esprit, le cœur et le corps réclament le rire… Parce qu’eux savent bien tous les bienfaits que cela apporte.
Oui c’est sûr… On devrait rire un peu plus afin de prendre la vie moins au sérieux, afin de s’éloigner des regrets et de la culpabilité, afin de diluer les soucis, afin de se distraire du pire de sa vie.
Oui c’est sûr… On devrait rire un peu plus et saisir toutes les opportunités pour s’y adonner, être soi-même l’instigateur d’une communication-non-verbale-magique qui embellit, qui fait du bien à soi… du bien à tous.
Oui c’est sûr… on devrait rire un peu plus parce que rire c’est un cadeau que l’on se fait à soi, parce que c’est une thérapie qui soulage et guérit, qui apaise et rassasie, qui comble et ravit.
Oui c’est sûr… on devrait rire un peu plus. On devrait rire tant qu’on est en vie.
Rire un bon coup et se sentir ensuite tellement bien. En paix. Serein. Détendu. Réénergisé. Invincible. Prêt à continuer. Certainement plus heureux. Beaucoup plus heureux.
Alors voilà notre mission : Tentons de nous bidonner librement le plus souvent possible. Des centaines de fois par jour. Oui des centaines de fois.
Parce que j’en suis certaine : On ne rit pas assez. Comme pour bien d’autres choses qui font plaisir ou qui font du bien, on remet à plus tard. À après le boulot. À après les obligations. À après ‘tout ce qu’il faut’ et ‘tout ce que l’on doit’.
À rire si peu… on rit encore moins. Le rire est une habitude qui a besoin d’être utilisée le plus souvent possible pour rester souple, agile et efficace. Et on peut tous développer cette habitude-là! Faut juste la laisser émerger, lui faire confiance et pratiquer! Assurément qu’à rire plus souvent… on en veut encore plus. Toujours plus.
L’esprit, le cœur et le corps réclament le rire… Parce qu’eux savent bien tous les bienfaits que cela apporte.
Oui c’est sûr… On devrait rire un peu plus afin de prendre la vie moins au sérieux, afin de s’éloigner des regrets et de la culpabilité, afin de diluer les soucis, afin de se distraire du pire de sa vie.
Oui c’est sûr… On devrait rire un peu plus et saisir toutes les opportunités pour s’y adonner, être soi-même l’instigateur d’une communication-non-verbale-magique qui embellit, qui fait du bien à soi… du bien à tous.
Oui c’est sûr… on devrait rire un peu plus parce que rire c’est un cadeau que l’on se fait à soi, parce que c’est une thérapie qui soulage et guérit, qui apaise et rassasie, qui comble et ravit.
Oui c’est sûr… on devrait rire un peu plus. On devrait rire tant qu’on est en vie.
vendredi 9 février 2018
mercredi 7 février 2018
lundi 5 février 2018
dimanche 4 février 2018
samedi 3 février 2018
Parfois y'a de la houle.
PARFOIS Y’A DE LA HOULE… Y’a des détours, des obstacles, des refus, des défaites et des cul-de-sac. J’avoue que je m’en passerais de tout ce qui me cause soucis et m'angoisse, de tout ce qui m’oblige à me réorienter, à tout repenser ou à tout recommencer.
Mon désir : Un but, une ligne droite et la victoire!!! À la place : Un but, mille embûches, tomber, réorganiser sa vie, trouver un nouveau but, déterminer une tonne de nouvelles étapes ou de nouvelles stratégies, se relever, persévérer et alors parfois gagner (yééé) ou parfois perdre(choooouuuuu)… et alors retourner à la ligne de départ.
Bien sûr que je connais toutes ces jolies phrases qui disent que ‘Les épreuves sont des cadeaux mal emballés’, que ‘ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort’… etc… Ces trucs-là, je les écris moi-même dans mes livres. Pis que je me les répète sans fin dans mes plus mauvais jours.
Quand même… J’aimerais parfois y échapper parce que la houle ça donne la nausée. Pis ça affaiblit l’optimisme, ça écorche le cœur, ça déséquilibre les espoirs, ça brise les rêves.
Parfois y’a de la houle. Pis j’aime pas la houle. À chaque fois je me braque, je veux reculer avant d’être renversée. Je veux m’enfuir avant d’être engloutie. Je veux me cacher en espérant y échapper.
Pis la tempête rugit. Pis à chaque fois je survis. Ce que je croyais être le pire du pire finit par passer, par se terminer… par se transformer.
La houle ne dure qu’un temps. C’est terrifiant, c’est dur, c’est exigeant mais on reste vivant. Pis aussi incroyable que cela puisse paraître. On se relève. Pis on continue d’avancer.
Pis il faut bien que je l’admette… Ben oui y’avait une belle leçon dans telle expérience, je me suis dépassée grâce à une autre. À la fin, je finis toujours par admettre ce que je niais au départ.
Y’a toujours un cadeau. C’est juste que parfois ça prend un moment (parfois un long moment) avant de le remarquer, de l’accueillir et d’en faire bon usage.
Parfois y’a de la houle. Pis après la houle on récolte. Il y a tout ce qu’on obtient… pis tout ce qu’on devient.
Je n’aimerai jamais la houle. Quand elle reviendra vers moi je me raidirai et je prierai pour être épargnée.
Mais je sais aussi, au plus profond de moi, que la houle me construit, m’enseigne, me permet de mieux me connaître et de mieux savoir vers quoi aller. Que dans son sillage vient aussi certaines bénédictions.
Mon désir : Un but, une ligne droite et la victoire!!! À la place : Un but, mille embûches, tomber, réorganiser sa vie, trouver un nouveau but, déterminer une tonne de nouvelles étapes ou de nouvelles stratégies, se relever, persévérer et alors parfois gagner (yééé) ou parfois perdre(choooouuuuu)… et alors retourner à la ligne de départ.
Bien sûr que je connais toutes ces jolies phrases qui disent que ‘Les épreuves sont des cadeaux mal emballés’, que ‘ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort’… etc… Ces trucs-là, je les écris moi-même dans mes livres. Pis que je me les répète sans fin dans mes plus mauvais jours.
Quand même… J’aimerais parfois y échapper parce que la houle ça donne la nausée. Pis ça affaiblit l’optimisme, ça écorche le cœur, ça déséquilibre les espoirs, ça brise les rêves.
Parfois y’a de la houle. Pis j’aime pas la houle. À chaque fois je me braque, je veux reculer avant d’être renversée. Je veux m’enfuir avant d’être engloutie. Je veux me cacher en espérant y échapper.
Pis la tempête rugit. Pis à chaque fois je survis. Ce que je croyais être le pire du pire finit par passer, par se terminer… par se transformer.
La houle ne dure qu’un temps. C’est terrifiant, c’est dur, c’est exigeant mais on reste vivant. Pis aussi incroyable que cela puisse paraître. On se relève. Pis on continue d’avancer.
Pis il faut bien que je l’admette… Ben oui y’avait une belle leçon dans telle expérience, je me suis dépassée grâce à une autre. À la fin, je finis toujours par admettre ce que je niais au départ.
Y’a toujours un cadeau. C’est juste que parfois ça prend un moment (parfois un long moment) avant de le remarquer, de l’accueillir et d’en faire bon usage.
Parfois y’a de la houle. Pis après la houle on récolte. Il y a tout ce qu’on obtient… pis tout ce qu’on devient.
Je n’aimerai jamais la houle. Quand elle reviendra vers moi je me raidirai et je prierai pour être épargnée.
Mais je sais aussi, au plus profond de moi, que la houle me construit, m’enseigne, me permet de mieux me connaître et de mieux savoir vers quoi aller. Que dans son sillage vient aussi certaines bénédictions.
vendredi 2 février 2018
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